Chanson de Noël pas pourrie…

Tiens et si on parlait d’une chanson de Noël ?

Il y en a des sympas , je pense à Love Actually notamment, mais pas que ! Mais souvent, c’est des chansons bien nases , et je parle même pas des chants religieux…

Alors en voilà une…enfin, je triche un peu, c’est pas vraiment une chanson de Noël…enfin , c’est même pas une chanson tout court…mais c’est un morceau que j’aime et connais depuis trèèèèèèès longtemps !

Merry Christmas Mr Lawrence !

Ecrire un peu…

J’ai lu ce texte ce Cécile Coulon, publié sur son mur FaceBook. Elle en publie beaucoup, j’en lis quelques-uns seulement et parfois je tombe sur une pépite…comme celui ci , que je reproduis ici avec son autorisation

Pour ceux qui apprécient l’auteur ou voudraient la découvrir, vous retrouverez Cécile Coulon en librairie le 18 mars 2018 avec  » Eloge du running », dans le genre essai.

Je veux écrire un peu, pas longtemps. Ma tête est fatiguée.
Je veux écrire un peu pour dire qu’il n’y a pas de chagrin injuste.
Parfois la terre tremble à l’autre bout du monde, mais souvent
c’est à l’autre bout de soi-même que quelque chose a bougé.
Ce peut être une coquille qui craque avec son souvenir à l’intérieur,
ce peut être un sexe dans une main timide et peu sûre d’elle,
ce peut être le corps qui remorque ses mille années de mensonges
et de contournements.
Je veux écrire un peu, pas longtemps. Mes yeux sont fatigués.
Je veux écrire un peu, pour dire qu’il faut conserver ses ombres
et rester en contact avec l’image de ceux qui les incarnaient, autrefois.
Il y eut des moments où seuls les incendies furent supportables ;
ceux qui vivent dans les flammes n’ont plus peur, quand elles s’éteignent,
d’être brûlés. Ils serrent des gens qu’ils aiment sans leur faire mal
et ne parlent jamais de cet amour qui ne signifie rien pour ceux
qui ne l’ont pas connu.
Je veux écrire un peu, pas longtemps. Ma langue est fatiguée.
Je veux écrire un peu pour dire que c’est un miracle de trouver
dans la brume quotidienne cet éclat rare et délicat des roseaux penchés,
dont la couleur change selon l’heure de la journée et la colère du ciel.
Que puis-je t’écrire que tu ne saches déjà ? Est-ce qu’il reste
une part de mystère et d’inconnu dans chaque pas que nous faisons ?
Il m’arrive parfois d’imaginer la forme que prendrait ma peur, un beau matin,
si elle sortait par magie ou par nécessité, de ma mémoire. J’imagine
que je m’éveillerais tôt : là, sur la table, il y aurait quelques fleurs nouées
entre elle par une corde brune, et ces fleurs seraient trempées. Ma peur
ressemblerait à cela : un trousseau de fleurs ravagées par la pluie
que la chaleur aurait du mal à sécher.
Je veux écrire un peu, pas longtemps. Je suis plus fatiguée qu’hier,
et moins que demain. Je ne peux rien faire sinon laisser les choses
continuer. Et tenter de les dire.

Copyright : Cécile Coulon

C’est la fête enfin les fêtes

Hé oui c’est les fêtes ! On utilise ce terme là sans se souvenir qu’on fête la naissance d’un leader de secte qui a fait un carton et qui est toujours là, plus de 2000 ans après !  Et qu’on célèbre la nouvelle année, donc, comme je le rappelle chaque année, nous fêtons tous une année de moins à vivre ! Champagne !

Alors, je me demandais ce que vous faisiez vous pour les fêtes cette année? Mais bon, si je fais le curieux, faut d’abord que je vous raconte ce que je vais faire moa !

En cette fin d’année 2017, je dois dire que je ne  suis pas trop frais, le matin, j’ai l’aspect de Renaud (le chanteur) et le teint de Gollum (le mec du Seigneur des Anneaux) quand je me lève…alors mon programme remise en forme pour les fêtes est le suivant : Ariège – Lorraine- Ariège – Londres (In London baby yeah….)-Ariège – Lozère- Ariège. Tout ça avec avions, train, voiture donc notamment  avec Hop Air France et SNCF…j’aime vivre dangereusement…et risque de perturbations météo because c’est l’hiver !

Lorraine et Lozère, c’est la famille, vous vous en doutiez non ?

Pour Londres, impossible d’avoir des places pour le feu d’artifices qui débute à minuit, juste après que Big Ben ait sonné les 12 coups. Il faudra se débrouiller pour aller sur un endroit où l’on peut voir le spectacle hors des zones prévues à cet effet, il y en a beaucoup mais vu la foule en délire qu’il va y avoir c’est un peu l’aventure  !

Côté cadeaux, cette année je n’ai pas fait de liste, j’ai demandé à remplir la cagnotte voyages, en vue d’aller un jour voir les aurores boréales…où je risque de mourir sur place de froid mais c’est pas le sujet du jour !

Voilà, ha oui, le blog reste ouvert cette année…il y aura des articles lights pour se remettre des repas de fêtes !

Sur ce, belles fêtes à tous et toutes et racontez-nous en commentaires ce que vous allez faire pour ces fêtes !!

Gazette du blog et top 6 des commentatrices – décembre 2017

Fin de l’année 2017 égale mini bilan du blog et surtout le classement tant attendu des commentatrices les plus régulières sur ce lieu de perdition…

Tout d’abord quelques petites statistiques…des chiffres , des chiffres, des chiffres…

Sur l’année, il y a eu 7500 visiteurs uniques soit en gros 20 par jour, comme d’habitude, en légère baisse. Idem pour les pages vues , environ 16000 soit 45 par jour, en baisse également. Par contre les commentaires ont encore augmenté et cela c’est top ! En gros, un visiteur sur cinq laisse un commentaire…c’est énorme ! Merci !

Quelques pays étranges qui sont venus voir ce blog…magie du net et des moteurs de recherche:

  • 35 visites de HongKong
  • 5 visites de Serbie
  • 3 visites d’ Israël, du Burundi, du Chili
  • 2 visites du Kenya
  • 1 visite du Népal…et de Saint-Marin (avant le cyclone ou après  ?)

Au niveau des chroniques de livres qui ont le mieux marché, par ordre de nombre de vues

  • L’ amie prodigieuse
  • Chanson douce
  • Celle qui fuit et celle qui reste
  • La  Chaîne d’amour (Daphné du Maurier…super ! )
  • Le garçon

A la demande d’ Emilie et de Maryline, voici les articles qui ont le mieux fonctionné en 2017, en dehors des chroniques de livres :que des articles de fond…

  • Interlude de requêtes : sur les requêtes rigolos qui permettent d’arriver sur le blog
  • La saga  » comment j’ai raté ma vie professionnelle » : la lose ça marche toujours à fond !
  • Cornouailles : ma série d’articles pourtant publiée en 2016 sur mon séjour dans le pays de Daphné du Maurier
  • 9 août 2017 : Hé oui, la seule vraie STAR de la blogosphère reste ASPHODELE, c’est énervant mais ainsi…
  • Et puis les top des commentatrices, comme cet article

Et avant d’arriver au palmarès top sexy de mes commentatrices les plus actives, voici quand même quelques requêtes tapées sur les moteurs de recherche pour arriver jusqu’ici.

  • Belle secrétaire sexy, fille sexy swag...et d’autres du même genre . Voilà, ça c’est top, en espérant juste qu’ils arrivent bien sur les articles illustrés…et pas sur les articles consacrés aux soeurs Brontë…
  • Naked Caroline Gif : Haaaaa, celui-là je ne l’ai pas en stock, mais sûrement un ou fan de l’irrégulière 😀
  • Je n’y arriverai jamais dans la vie, j’ai raté ma vie, rater son bac avec un avis très favorable… ben je vois qu’une solution pour ceux qui tapent ces mots, celle d’ouvrir leur blog !

Trêve de plaisanterie…voici le top 6 des commentatrices les plus actives et sexy de ce blog (chiffres au 18 décembre et comparatif avec le dernier palmarès illustré publié en juillet ).

  • Numéro 6 : Syl qui rentre à nouveau dans le classement…bravo Comtesse ! On la voit ici au terme de son atelier cuisine du dimanche…moyennement satisfaite de sa recette on dirait…
  • Numéro 5: Valérie – Valmeslivres qui fait sa première apparition dans ce palmarès.  Elle se love au doux soleil de Normandie…
  • Numéro 4 : Soène : elle gagne 2 places par rapport à juillet dernier. La voici ici imitant Shakira…ou presque !
  • Numéro 3 : Estelle : elle progresse d’une place et se demande si elle ne devrait pas opter pour un tatouage intégral…
  • Numéro 2 : Lydia  : la voilà déchue de son titre de septembre (sans effigie sexy pour personne faute de temps).  On la voit ici s’exercer à la chanson andalouse avec tirage de ficelles intégré…
  • Numéro 1 : Emilie Berd, qui a 2 commentaires près est toujours première. On la voit tourner de joie et ma foi, le rose lui va bien…

A bientôt pour le prochain classement !

Jeu de Noël du blog de Mind The Gag : la gagnante

Un grand merci à toutes celles qui ont participé depuis le mois de mars à ce jeu de devinettes.

Tout d’abord, la réponse à la dernière énigme: il fallait trouver la « profession  » pasteur. Hé oui, je suis attiré par les filles de pasteur on dirait…

Voici donc le  palmarès final du jeu et le nom de la grande gagnante.

  • La Douce , Martine, Lydia et Manou dans la forêt  ont 4 points
  • Estelle a 3 points
  • Valentyne a 2 points
  • Emilie, Syl, et Philisine  ont 1 point.

Comme nous avons une égalité entre 4 des  compétitrices qui se sont battues au couteau , j’ai dû procéder à un tirage au sort, sans présence d’huissier de justesse, ça coûte trop cher !

Et la gagnante du jeu de Noël 2017 du blog de Mind The Gap est….

Lydia !

Bravo à toi, tu recevras un petit colis de Noël la semaine prochaine !

Merci encore d’avoir participé depuis le mois de mars dernier !!

Jeu de Noël : dernière énigme !

Et voici l’ultime épreuve de ce jeu commencé en mars dernier. Demain nous connaîtrons la gagnante du colis de Noël. Je vous indique que si La Douce gagne, elle laissera sa place à la seconde ! Bien entendu, en cas d’égalité de points, il y aura un tirage au sort pour désigner l’heureuse élue !

Voici les scores.

  • La Douce , Martine   ont 4 points
  • Lydia, Manou dans la Forêt et Estelle ont 3 points
  • Valentyne a 2 points
  • Emilie, Syl, et Philisine  ont 1 point.

C’est parti pour la dernière devinette et comme d’habitude, les 2 premières bonnes réponses avec le mot Fernandel dans leur commentaire auront 1 point.

Il s’agit aujourd’hui de trouver une « profession » à partir des indices suivants ! 

  • Rage
  • Presbytère
  • Katy Perry, Jane Austen, Charlotte, Emily et Anne Brontë.

Allez on fonce ! Rendez-vous demain pour le résultat !

 

Par amour de Valérie TONG CUONG – 2017

La vérité est comme le soleil. Elle fait tout voir et ne se laisse pas regarder (Victor Hugo, cité dans le texte par l’un des personnages).

Nous sommes au Havre en 1940. La mobilisation a eu lieue. Puis la guerre qui n’en était pas une, puis la capitulation française…l’arrivée de Pétain au pouvoir, le Général en exil, puis la collaboration, puis l’épuration, puis les combats et les destructions, puis l’attente du débarquement allié, puis la libération et la capitulation finale de l’ Allemagne. La seconde guerre mondiale.

Dans la ville Normande, il y a Muguette, dont le mari est prisonnier quelque part en Allemagne, et ses deux enfants, Joseph et sa petite soeur Marline, qui ne parle plus depuis la mobilisation, excepté à Joseph. Et puis il y a Emelie, la soeur de Muguette, ses deux enfants ,Lucie et Jean, et Joffre son mari, démobilisé après la débacle française et ne jurant plus que par le Maréchal , au grand désaroi d’ Emelie.

Cela fait un an que j’ai envie de lire Par amour et de retrouver Valérie Tong Cuong pour la quatrième fois. Et enfin, mon envie s’est réalisée et voilà que ce roman est non seulement mon préféré des quatre mais encore un vrai coup de coeur.

Alors bien sur, Valérie est dans la grande tendance de ses deux ou trois dernières années, à savoir créer des personnages et une intrigue fictionnelle et romanesque, à partir d’un contexte historique et d’une recherche historique bien réelle. Mais elle fait le job à merveille. Ce livre est addictif dès les trois premières pages et l’auteur prouve que c’est une grande raconteuse d’histoire, capable de créer des personnages complexes et de les faire vivre avec émotion et brio.

On retrouve bien entendu dans Par amour, une forme d’optimisme, de bienveillance voire de valeurs chrétiennes qui peuvent parfois irriter . On se dit aussi, que Valérie Tong Cuong appuie  là où ca fait mal pour le lecteur, que c’est attendu, mais c’est tellement bien fait que ça passe.

Le temps et l’absence n’ont rien à voir avec l’amour, Muguette, ce qui compte, c’est ce qui le fonde. Parfois il se fonde sur une erreur d’appréciation, on croit aimer une personne, mais on aime un rêve, un désir, un idéal, quelque chose que l’on porte en soi depuis toujours et on affuble l’autre qui, souvent, s’y prête volontiers. C’est si flatteur ! Seulement à la première occasion, au premier effort, lorsque les masques tombent, l’autre apparaît tel qu’en lui-même, et rarement celui que l’on croyait aimer, l’amour devient alors sans objet, l’amour devient désillusion.

J’ai apprécié aussi, le style choral qui est l’un de mes procédés d’écriture préféré chez les auteurs de ma génération. Et puis, ce rappel historique m’a permis d’embrasser la guerre sur toute sa longueur et m’a donné envie d’aller au Havre, et c’est pas forcément évident , même quand on aime la mer et l’océan.

En somme, je me suis régalé, le suspens est présent jusqu’à la fin même si la révélation finale, qui m’a bien surpris, n’apporte finalement pas une plus-value au roman.

Alors à Noël, si vous ne savez pas quel roman offrir, celui-ci sera parfait, il renferme tout ce que l’on attend d’un belle histoire, sans fioriture ni prétention. Comme le dit Emelie:

 » nous ne faisions pas partie de ces bourgeois qui ampoulent leurs phrases pour afficher leur supériorité ».

Pensez à rajouter un paquet ou deux  paquets de kleenex, (4 pour toi Emilie si tu le lis…mais je parie que tu aimerais beaucoup…) pour les lecteurs ou lectrices les plus sensibles même si, ceux qui connaissent Valérie Tong Cuong savent que le happy-end l’emporte toujours  !

J’ignorais qu’il faut traverser ce genre d’événement tragique – la perte de ce que l’on a de plus précieux au monde -, pour mesurer ce que le corps et l’âme ressentent, ce trou indescriptible au milieu de soi-même

Et vivement le prochain roman !

De l’amour, de l’amour, de la mort

Hier soir, j’ai vu à la télé les images impressionnantes de l’hommage rendu à Johnny Hallyday. En fait, depuis l’annonce de sa mort, je réfléchis autour de cette nouvelle. Je ne suis pas fan, je n’ai même jamais écouté un seul album, mais je suis né avec lui, ma mère était fan, elle l’est encore plus ou moins, mon oncle aussi et d’autres personnes encore. Je l’ai toujours vu, entendu.  Au départ, j’étais juste étonné de la nouvelle, je l’ai appris à 5h du matin, au journal d’ Inter.  Et maintenant , de voir  ce quasi million de personnes rassemblées hier autour de la star, mélange de tristesse absolue mais aussi d’une sorte de liesse, ne me laisse pas indifférent.

Déjà, je me dis qu’aucun autre art que la chanson touche autant le public dans sa globalité. Imaginez que demain meure le plus grand écrivain, l’acteur ou l’actrice la plus populaire du pays, le peintre le plus couru…personne n’aura droit à ce rassemblement et l’impact sera ridicule à côté des funérailles de Johnny.

Alors pourquoi tant de ferveur, tant d’émotion , surtout quand on est pas fan absolu, le fanatisme ôtant toute rationalité?  Il y avait hier la famille et les amis de Johnny, ses amis proches, les ofifciels, les fans ultimes et grands fans, mais aussi simplement des personnes qui ont grandi avec ses chansons les plus célèbres.

Alors je me dis que la disparition de Johnny, c’est d’abord un repère qui s’écroule. Une balise en moins dans l’existence de tout un chacun. On s’est rendu compte que même Johnny Halliday n’était pas immortel. Son oeuvre le sera certainement en partie, mais l’homme ne l’est pas. Et cela c’est triste, on aimerait que les légendes, nos légendes soient immortelles. Mais on n’est pas dans un jeu vidéo, on ne peut pas regagner des vies et recommencer.

Et puis, je crois surtout que sa mort nous renvoie à la nôtre. On se lève le matin en oubliant naturellement qu’on est mortel. C’est la condition nécessaire pour essayer de vivre un minimum, sans cela on finirait cinglé. Or en disparaissant, Halliday nous rappelle que nous sommes mortels et que ce qui vient de lui arriver nous arrivera aussi, espérons le plus tard possible. Et en pleurant la star, au delà de l’immense artiste , au delà de l’homme pour ceux qui l’aimaient ,le connaissaient, je crois que beaucoup pleurent simplement la mort…au fond une histoire où l’amour percute la mort…la vie quoi.

Johnny s’en va reposer dans l’intimité d’un cimetière sur l’ île de Saint Barthélémy, parce qu’il faut bien qu’enfin Jean-Philippe Smet ait la paix, n’appartienne qu’à lui et à ses proches. je me souviens avoir entendu Charlotte Gainsbourg dire que pendant des années elle ne pouvait aller au Père Lachaise, l’allée  du cimetière étant constamment envahie de fans…

J’ai toujours eu l’impression que l’idole des jeunes était quelqu’un de très seul, même si paradoxalement il était très entouré.  Je crois que hier, lors de sa remontée des Champs Elysées, nous en avons eu la preuve…mais sa solitude  nous renvoie aujourd’hui à la nôtre…alors tâchons de parvenir à allumer le feu…

Mon précieux…par Soprano.

J’aime bien ce que proposent Black M et Soprano, dans le genre nouvelle chanson française, parce que les mots sont simples mais il y a un fond dans beaucoup de leurs tubes.

Et après Le Diable ne s’habille plus en Prada, Roule, Mon Everest et bien d’autres, le chanteur marseillais aborde la question de la transformation numérique de la société et des addictions qu’elle provoque. C’est un tube…

Voici le texte , assez long, écrit par l’un des paroliers de Soprano. Et juste après le clip. Le titre de la chanson,  lui,   » Mon précieux » est emprunté à l’oeuvre de Tolkien…

Mon précieux.

Ta douce mélodie me réveille chaque matin
Avant même d’embrasser ma femme je te prends par la main
Puis je te caresse le visage pour voir si tout va bien
Tellement inséparable qu’on part ensemble au petit coin
Mon café, mon jus d’orange on le partage aux amis
En voiture mes yeux sont dans les tiens donc quelques feux je grille
Au boulot on parle tellement ensemble que des dossiers j’oublie
Au dîner vu le silence tout le monde t’aime dans ma famille, baby
Je te partage ma vie, au lieu de la vivre
Tu me partages la vie des autres pour me divertir
Je ne regarde plus le ciel depuis que tu m’as pris mes yeux dans tes applis, baby
Je ne sais plus vivre sans toi à mes cotés
Ton regard pixélisé m’a envouté, toi mon précieux, mon précieux, mon précieux
Mon précieux, mon précieux, mon précieux
Quand tu sonnes ou quand tu commences à vibrer
Je perds la tête, comment pourrais-je te quitter, toi mon précieux, mon précieux, mon précieux
Mon précieux, mon précieux, mon précieux
Tu es ma secrétaire, tu gères mon organisation
Tu allèges mes neurones grâce à tes notifications
Plus besoin d’aller voir la famille vu que tu me les follow
Pour leur prouver que je les aime, je n’ai qu’à liker leur photos
Pourquoi aller en concert, tu m’as tout mis sur Youtube
Tu m’aides à consommer car tu ne me parles qu’avec des pubs
J’fais plus d’gaffes à l’orthographe depuis que je te parle avec mes doigts
Mes gosses font plus de toboggan, ils préfèrent jouer avec toi, baby
Je te partage ma vie, au lieu de la vivre
Tu me partages la vie des autres pour me divertir
Je ne regarde plus le ciel depuis que tu m’as pris mes yeux dans tes applis, baby
Je ne sais plus vivre sans toi à mes cotés
Ton regard pixélisé m’a envouté, toi mon précieux, mon précieux, mon précieux
Mon précieux, mon précieux, mon précieux
Quand tu sonnes ou quand tu commences à vibrer
Je perds la tête, comment pourrais-je te quitter toi mon précieux, mon précieux, mon précieux
Mon précieux, mon précieux, mon précieux
Mais là je deviens fou
J’ai l’impression que mon pouls ralenti
J’ai plus de repères, je suis perdu
Depuis que tu n’as plus de batterie
Ohhh-oh
Ohhh-oh
Ohhh-oh
Ohhh-oh
Ohhh-oh
Ohhh-oh
Ohhh-oh
Ohhh-oh
Mon précieux, mon précieux, mon précieux
Mon précieux, mon précieux, mon précieux
Mon précieux, mon précieux, mon précieux
Mon précieux, mon précieux, mon précieux
Vous avez 39 nouvelles demandes d’amis
Vous avez 120 nouveaux likes
vous n’avez pas vu vos amis depuis deux mois
Votre vie est digitale, LOL

Jeu de Noël -treizième énigme – bis !

C’est La Douce et Martine qui gagnent un point chacune ! Rendez-vous pour la dernière épreuve d’ici quelques petits jours. Il fallait trouver flûte !

Coucou.

Pour rattraper l’énigme d’hier qui n’a pas pu être validée, voici donc une nouvelle devinette.

Les 2 premières bonnes réponses qui auront bien mis le mot Fernandel dans leur commentaire auront 1 point.

Comme hier, il s’agit de trouver un mot  de la langue française à travers les indices suivants :

  • Pain
  • Bec
  • Champagne
  • Musique

C’est facile ce coup-ci !! A vous !!