On arrive à la fin de l’année et je vais quand même faire un petit bilan de mes lectures, sachant qu’au final j’aurai lu 27 livres dont 18 avant la fin juin. Depuis c’est la panne, mais je finis l’année avec La vérité sur l’ affaire Harry QUEBERT , du fameux Joël DICKER, voisin suisse. Et comme je suis tombé en addiction en regardant la série, je me suis dit qu’il fallait que je lise le livre phénomène !
Cette année, l’auteur phare de mes lectures aura été Claudie Gallay, avec trois romans lus dont son dernier, La beauté des jours, mais aussi Seule Venise, et je dois dire que j’ai vraiment beaucoup aimé à chaque fois. Elle a l’art de rendre le banal voire le sinistre merveilleux !
Egalement l’année des retours vers « mes valeurs sures », avec le nouveau Blondel (La mise à nu), pas mal du tout mais pas dans ses meilleurs, le nouveau Foenkinos, (Vers la beauté), pas mal sans plus, le nouveau Delphine de Vigan (Les Loyautés), plutôt décevant au final quand on est fan et récemment le nouveau Julian Barnes (La seule histoire), fort et beau comme toujours chez cet auteur anglais.
A noter que j’ai cédé à la pression médiatique si je puis dire, en lisant un type de livre que je ne voulais pas lire :celui que l’auteur ne voulait pas écrire…vous aurez peut-être reconnu Erwan Lahrer ! Et j’ai bien fait, un livre touchant et décalé sur les attentats terroristes…entre autres !
2018 a été aussi la découverte de Philippe Besson avec Arrête avec tes mensonges puis Les passants de Lisbonne et c’est un auteur que je vais relire , j’aime beaucoup son style et sa sensibilité même si je pressens qu’il est le genre d’auteur qui écrit toujours le même livre…
Forcément, une bio sur les Brontë, car sinon ça ne serait pas drôle et le témoignage si fort et accrocheur sur la traque des juifs pendant la seconde guerre mondiale de Françoise Frenkel avec Rien où poser ma tête.
Et enfin, une série premiers romans qui m’a vraiment procuré du plaisir en tant que lecteur et dès que j’aurais retrouvé la lecture, je compte bien continuer des séries premiers romans. Dans le désordre :
- La tresse de Laétitia Colombani : Une super idée de déroulement d’histoire, un gros succès pour l’auteur.
- Les rêveurs d’Isabelle Carré : Toute la sensibilité de l’actrice est là, même si la construction du livre est foireuse
- Venise n’est pas en Italie de Ivan Calberac : une histoire géniale, fraîche et un peu déjantée avec un vrai fond en plus
- Les oubliés du Dimanche de Valérie Perrin : une très belle histoire, très humaine voire humaniste, peut être un peu trop sentimentale parfois mais top, et d’ailleurs je lirai son dernier roman sorti à la rentrée je crois.
En espérant faire mieux l’année prochaine, par contre toujours pas prévu de lire Victor Hugo 😀
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